26-10-2007 Intervention sur le budget du 92
Intervention de Michel Laubier
Les interventions, questions orales ou écrites, voeux fait en séance du Conseil général des Hauts-de-Seine:
Intervention de Michel Laubier
Intervention de Catherine Margaté
Intervention de Catherine Margaté
Question orale de Christian Fischer
Question orale de Catherine MargatéSur les subventions pour l’aide alimentaire aux associations caritatives Monsieur le Président, Cher(e)s Collègues, Le 7 juillet dernier lors de la séance du conseil général, les élus communistes avec l’ensemble des élus de notre assemblée départementale ont voté le rapport n° 07.222 « aide aux organismes alimentaires – année 2007 ».
Le 14 octobre 2007
Monsieur le Président,
J’ai pris connaissance de votre communiqué de presse, dans lequel vous justifiez la baisse des subventions aux associations caritatives par le fait qu’elles présentent un budget excédentaire.
Cet argument ne me semble pas sérieux. C’est une justification à postériori de baisses considérables et que le rapport présenté en séance n’évoque à aucun moment.
Monsieur le Président,
Tout le monde est unanime pour reconnaître le succès de Velib’ à Paris, un système de bicyclettes en libre-service. Des opérations similaires existantes dans d’autres villes de France comme Lyon, La Rochelle ou Rennes montrent que ce type de déplacements correspond à une forte demande.
Intervention de Jacques Bourgoin sur le rapport demandant un avis défavorable sur le SDRIF. Séance du Conseil général du 29 juin 07.
Après Catherine Margaté, je veux dire mon désaccord avec le rapport qui à nouveau oppose le développement de notre département à celui de la Région Ile de France.
Alors que s’accroissent les inégalités sociales et la ségrégation spatiale (toutes les statistiques le confirment malheureusement), nous devrions être unanimes à soutenir le sens global de ce SDRIF qui se fixe de réduire les inégalités territoriales, sociales et environnementales qui concernent aussi notre département.
L’année scolaire arrive aujourd’hui à son terme. Tout le long, des élèves sans papiers, scolarisés dans plusieurs communes des Hauts-de-Seine, ont pu poursuivre leur cursus, en étant entourés par l’équipe pédagogique, soutenus par leurs camarades, les parents d’élèves.