Quand la droite gennevilloise parle de race, ça me rappelle des heures noires de notre histoire
Dans la tribune libre de Genneviliers magazine du mois d’octobre, Alain Cheïk, conseiller municipal, signe la tribune du groupe de l’UMP, intitulée « La France, terre d’asile, terre fragile ». En général, si j’ai un désaccord politique total avec les idée de l’UMP, je respecte les personnes et en particulier Alain Cheîk, qui est au demeurant très courtois.
Mais je ne peux laisser passer des propos, meme s’ils sont de l’ordre des maladresses. Il est des écarts de langage, des maladresses qui, si on les laisse passer conduisent des millions de personnes dans les chambres à gaz.