L’histoire de France ne peut s’acheter !
Tribune dans l’Humanité du le 6 avril 2010
Par Laurence De Cock ET Guillaume Mazeau, HISTORIENS, MEMBRES DU COMITÉ DE VIGILANCE FACE AUX USAGES PUBLICS DE L’HISTOIRE (*).
Une « lettre ouverte » à ségolène royal À propos de l’appellation « Fête de la fraternité »
Décidément, la marchandisation patrimoniale semble faire des émules. Déjà, sans provoquer beaucoup de réaction, l’article 52 de la loi finance 2010 autorisait le transfert de la totalité des monuments appartenant à l’État aux collectivités territoriales, sans que rien n’empêche leur transfert ultérieur à des entreprises privées si tant est que le préfet donne son accord à la transaction (1).