On me pardonnera l’audacieuse métaphore qui suit, mais en contemplant le paysage à gauche, je ne peux m’empêcher de penser à ces dilemmes cornéliens qui ont fait les délices de nos études. Un certain romantisme en moins puisque, dans notre petit théâtre, la froide raison politique a tendance à remplacer les passions amoureuses. Mais, au fond, la tragédie est la même. Et, comme chez Corneille, c’est le personnage le plus fragile qui est le plus convoité. En l’occurrence, un parti communiste chancelant, qui aurait le rôle de Chimène au milieu de deux prétendants jaloux : le Parti de gauche et le Parti socialiste. Ou, si vous préférez, Rodrigue et Don Sanche (et tant pis si la distribution laisse poindre de ma part une préférence…). Une âme accommodante envisagerait bien un ménage à trois ; notre Chimène, elle-même, n’y verrait apparemment aucun inconvénient. Mais ce serait compter sans l’intransigeance des prétendants. Et puis ce scénario nous ferait franchement sortir de l’univers cornélien pour nous plonger dans le vaudeville. Il est donc temps de redevenir sérieux et de dépasser les apparences pour tenter de comprendre cette raison politique à l’instant évoquée.
Très Haut débit: la commission européenne me donnerait-elle raison?
Ala lecture de la dépeche AFP, il est possible que la commission européenne me donne raison dans mon action contre la dilapidation de fonds publics dans les Hauts-de-Seine sur le très Haut débit.
Haut débit: Bruxelles veut cibler les aides sur les zones sous-équipées